Je n’ai encore jamais vu la manifestation parisienne Photoquai, mais j’aime parcourir leur site et découvrir des photographes inconnus de mes services. Et c’est peu dire qu’ils sont très nombreux !
Cette année, j’ai repéré le coréen Daesung Lee et ses mises en scènes originales destinées à mettre en évidence le changement climatique et ses conséquences sur les peuples. Vaste sujet… et très belle recherche du photographe documentaire.
Plusieurs séries de ses photos m’ont intéressée : « Archéologie du futur », où le photographe a mis en scènes des nomades en Mongolie, région très touchée par la désertification.
Très touchante aussi la série « On the shore of a vanishing island » sur la petite île de Ghoramara, dans le delta du Gange, menacée par la montée des eaux. Le photographe a partagé la vie des habitants pendant deux mois : « « Un jour, cette île où ils sont nés ne sera plus qu’un souvenir. Le processus a démarré dans les années 1960. Depuis plus de trente ans, c’est plus de la moitié du territoire qui a disparu, et les deux tiers de la population… »
Né en 1975 à Busan (Corée du Sud), Daesung Lee est diplômé en photographie de l’université Chung-Ang de Séoul. Il a voyagé à travers le monde et s’est consacré, depuis 2007, à la photographie documentaire et socialement engagée. Daesung Lee vit actuellement à Paris. Ses travaux sont repris entre autres par The Guardian, La Repubblica ou M Le Magazine du Monde.
Le site du photographe.
Je participe au challenge coréen, organisé par Pativore.
Difficile de commenter ce matin, comme si de rien n’était .. difficile aussi de conseiller d’aller à Photoquai. J’ai remarqué ce photographe bien sûr, surtout ses petites filles. Il a une belle démarche.
J’aimeJ’aime
Mon billet était programmé, j’ai retiré en vitesse une note d’humour déplacée ce matin. Je suis un peu assommée… Merci de ton commentaire.
J’aimeJ’aime
Oui, je regarde sans voir… je me sens comme anesthésiée, choquée évidemment. Pourtant je crois toujours et plus que jamais à la culture pour nous aider à comprendre le monde, à savoir ou, au moins, à chercher comment agir, comment se comporter et lutter contre la barbarie.
J’aimeAimé par 1 personne
Bien sûr. Tu as tout à fait raison…
J’aimeJ’aime
Comme beaucoup , je crois bien être incapable de voir les choses comme il le faudrait , excuse moi ..
Je peux malgré tout apprécier ces photos choisies
Bises
J’aimeJ’aime
Mon billet était programmé, je l’ai laissé
J’aimeJ’aime
Tu me piques une de mes idées de photographes coréens, hihihi ! Je connaissais la première série mais je découvre la seconde en Inde. Très intéressante !
J’aimeAimé par 1 personne
Oh, je suis désolée, mais ça ne t’empêche nullement d’en parler aussi ! 😉
J’aimeJ’aime
Elles font du bien je trouve ces photos , un beau travail de mise en scène …
J’aimeJ’aime
Des photos à la fois documentaires et engagées, ce n’est pas si courant.
J’aimeJ’aime
Des clichés qui interrogent et touchent. De la grande photographie!
J’aimeJ’aime
Ce photographe semble reconnu, à juste titre.
J’aimeJ’aime